Joachim Güth s’en est allé, rejoindre son épouse Gisela dans le jardin éternel des poètes et des idéalistes.
Il aimait ce qui est beau et juste ; il a choisi de partir samedi 30, par un matin ensoleillé du joli mois de mai.
Jovi, dans ton jardin, le lilas fleurira toujours, et nous chanterons aux beaux jours.